Extrait du « Qiuyi buru qiuyi », 2007, de Zheng Fengzhong
Soulagez un grand nombre de maux
grâce aux points yuan – origine
Et leurs associations fréquentes
Extrait du « Qiuyi buru qiuyi », 2007,
de Zheng Fengzhong, auteur émérite,
membre de la fédération de médecine traditionnelle chinoise de Pékin.
Traduit et partagé par Raphaël Gallo-Bona,
Votre praticien à l’Institut Feng Zhen.
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Ode traditionnelle des points yuan - origine :
Le point Hegu (GI4) du gros intestin yangming est l’un des plus puissant,
Lorsque l’estomac est douloureux sélectionnez Chongyang (E42).
Le point yuan - origine de l’intestin grêle taiyang est Wangu (IG3),
Et celui de la vessie taiyang est Jinggu (V64).
Sanjiao, Yangchi (SJ4) ; vésicule biliaire, Qiuxu (VB40),
Pour les poumons, recherchez Taiyuan (Po9) ; pour la rate, Taibai (Rt3).
Lorsque le péricarde est malade utilisez Daling (Pc7),
Masser Taichong (F3) est excellent pour le foie.
La porte de l’esprit (Shenmen - C7) se trouve sur le canal shaoyin cœur,
Cherchez le canyon (Taixi - Rn3) sur le canal des reins pour avoir des résultats excellents.
Le dumai n’a pas de point yuan - origine, optez pour Baihui (Du20),
Pour renmai, on trouve Shanzhong (Ren17) au centre.
Utilisation des points yuan - origine
1/ Taiyuan (Po9) – L’abîme
Applications : Toux, asthme, hémoptysie, gonflement et douleur de la gorge, oppression thoracique, palpitation, douleur au poignet. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour traiter le rhume, la toux et les inflammations du système respiratoire, la coqueluche, la tuberculose, l’angine de poitrine, la névralgie intercostale, le syndrome du pouls manquant, les douleurs au poignet, etc.
Associations : Avec Lieque (Po7) et Kongzui (Po6), ils dispersent le vent en provoquant la sudation. Ils promeuvent les fonctions des poumons et stoppent la toux, traitent l’asthme et les douleurs du haut du buste.
Associé à Neiguan (Pc6), Chongyang (E42), et Sanyinjiao (Rt6), ils promeuvent les systèmes cardiovasculaire et circulatoire, dissipent les stases de sang, et traitent le syndrome du pouls manquant.
Références classiques : « Qianjin fang » : Taiyuan (Po9) traite l’hémoptysie, les coups de froid, l’asthme.
« Yulong fu » : Pour soigner la toux, le vent et les mucosités, piquer Taiyuan (Po9) et Lieque (Po7).
« Jinjian » : Traite les douleurs dentaires, le manque de force et les douleurs au poignet, la toux, le vent et les mucosités, les céphalées unilatérales, etc.
2/ Hegu (GI4) – La jonction des vallées
Applications : Maux de tête, douleurs au cou, les yeux rouges, enflés et douloureux, épistaxis, obstruction nasale, sinusite, douleurs dentaires, surdité, gonflement faciale, gorge enflée et douloureuse, oreillons, trismus, déviation faciale, fièvre sans transpiration, forte sudation, douleurs abdominales, dysenterie, constipation, aménorrhée, accouchement prolongé, convulsions infantiles, douleur ou paralysie dans les bras. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour les paralysies et spasmes de la face, névralgie du trijumeaux, ophtalmie « électrique », myopie, tuberculose, inflammation des amygdales, de la langue ou des gencives, les douleurs dentaires, la grippe, l’hypertension, les démangeaisons, urticaires, etc. Sa puncture est interdite durant la grossesse !
Associations : Avec Jiache (E6), et Yingxiang (GI20), ils promeuvent la circulation des canaux et collatéraux, et stoppent ainsi les douleurs dentaires et faciales. Ils dispersent le vent en provoquant la sudation, soutiennent la fonction dispersante des poumons pour ouvrir les orifices et traitent ainsi les rhumes, les céphalées, la fièvre, et les obstructions nasales. On l’associe alors à Lieque (Po7) pour obtenir la combinaison yuan – luo, hôte – invité.
Associé à Taichong (F3), cette combinaison s’appelle Siguan – les quatre barrières. Ils ont une propriété apaisante, équilibrent le foie et calment les spasmes, traitent la démence, les maux de tête, les vertiges et l’hypertension.
Associé à Fengchi (VB20) et Dazhui (Du14), ils clarifient la chaleur et rafraîchissent le sang, interceptent la malaria, et traitent les démangeaisons et affections cutanées, l’urticaire, les furoncles, le paludisme.
Associé à Sanyinjiao (Rt6), ils favorisent la circulation des canaux et du sang, et déclenchent l’accouchement. Ils traitent les irrégularités menstruelles, la dysménorrhée, l’aménorrhée, et les accouchements difficiles.
Références classiques : « Tongren » : Il est interdit de le puncturer durant la gestation, il déclenche la grossesse.
« Zisheng » : Pour la rubéole : Hegu (GI4), Quchi (GI11).
« Dacheng » : Pour les furoncles au niveau de la face ou au commissure des lèvres, moxibustion sur Hegu (GI4). Pour l’infection des yeux chez les enfants, moxibustion sur Hegu (GI4) (des deux côtés), chacun un cône.
3/ Chongyang (E42) – La ruée du yang
Applications : Douleurs des dents supérieures, face externe du pied enflée et rouge, atrophie de la jambe. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour les gingivites, l’épilepsie, les inflammations, etc.
Associations : Avec Zusanli (E36), Pucan (V61), Feiyang (V57), Fuliu (Rn7), Wangu (IG4) ils promeuvent le qi et le sang, ils humidifient et nourrissent les tendons, et traitent ainsi les atrophies ou le syndrome des jambes sans repos.
Associé à Fenglong (E40), ils drainent les mucosités et tranquillisent l’esprit. Ainsi, ils traitent les délires (« courir au sommet de la montagne en se défaisant de ses vêtements et en chantant »).
Références classiques : « Suwen » : En dessous passe une artère principale. Si elle est percée, alors le sang se met à couler, et il est impossible de l’arrêter. La mort s’en suit.
« Jiayi jing » : Lorsqu’on se mord les joues ou les lèvres, pour la fièvre sans sueur, chaleur et douleur buccale, douleurs épigastriques, alternance entre froid et chaud.
« Tongren » : Hémiplégie, dissymétrie faciale, coude enflé.
4/ Taibai (Rt3) – Le très blanc
Applications : Maux d’estomac, distensions abdominales, constipation, dysenterie, vomit et diarrhée, gargouillements intestinaux, le corps lourd, béribéri. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour les inflammations intestinales aiguës ou chroniques, pour les vomissements neurologiques, dyspepsie, les spasmes gastriques, etc.
Associations : Avec Gongsun (Rt4), Dachang shu (V25), Sanjiao shu (V22), ils drainent l’humidité chaude, et traitent ainsi gargouillements et diarrhées.
Associé à Zusanli (E36), ils harmonisent l’estomac et régule le centre, et traitent ainsi les distensions.
Références classiques : « Jiayi jing » : Taibai (Rt3) traite : les maladies fébriles, les suffocation avec impossibilité de s’allonger, les distensions et les gargouillements douloureux,le corps lourd avec les articulations raides.
« Qianjin fang » : Maux de tête avec alternance froid chaud, sueur sans aversion pour le froid, jambes et genoux enflés, crampes musculaires.
« Jinjian » : La puncture des deux points Taibai (Rt3) et Fenglong (E40) traitent le corps lourd, l’épuisement, le teint jaunâtre, la langue chargée et douloureuse. On les utilisent aussi pour les lourdeurs et les douleurs abdominales, la nausée ou la diarrhée, sensation de faim mais sans avoir de désir pour la nourriture, et toutes les maladies de la rate et de l’estomac.
5/ Shenmen (C7) – La porte de l’esprit
Applications : Douleurs au cœur, agitations, arythmie, palpitations, les troubles de la mémoire, insomnie, démence, folie, imbécillité, douleurs aux flancs, chaleur dans les paumes, yeux jaunâtres. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour le syndrome du pouls manquant, la psychasthénie, les angines de poitrine, l’hystérie, l’engourdissement de la langue et de la trachée, la perte de sang post-partum, l’inflammation des ganglions lymphatiques et des amygdales, etc.
Associations : Avec Zhizheng (IG7), ils forment l’association hôte – invité. Ensemble, ils profitent au qi, nourrissent le cœur, et calment l’esprit. Ils traitent les difficultés psychiques, les problèmes de mémoire, l’insomnie, et le pouls manquant.
Associé à Dazhui (Du14), et Fenglong (E40), ils stimulent le cerveau et calme l’esprit, libèrent les mucosités et ouvrent les orifices. Ils traitent ainsi la démence.
Avec Guanyuan (Ren4) et Zhongji (Ren3), ils calment l’esprit et profitent aux reins. Ils traitent ainsi l’énurésie et la spermathorée.
Associé à Geshu (Du17) et Xuehai (Rt10), ils favorisent la circulation sanguine et l’hémostase. Ils traitent ainsi l’hématémèse, l’hémoptysie, et l’hématochézie.
Références classiques : « Jiayi jing » : Guanmen (E22), Shenmen (C7) et Weizhong (V40) traitent lénurésie.
« Tongren » : Traite la malaria et les troubles cardiaques.
« Dacheng » : Traite la démence, et les troubles de la mémoire.
6/ Wangu (IG4) – L’os du poignet
Applications :Maladies fébriles sans transpiration, maux de tête, circulation obstruée au niveau de la nuque, contractures des doigts et des poignets, jaunisse. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour la stomatite, le diabète, etc.
Associations : Avec Tongli (C5) ils forment l’association hôte – invité. Ensemble, ils clarifient la chaleur et tranquillisent l’esprit, traitent la fièvre élevée et les convulsions infantiles.
Associé à Taichong (F3), et Yanglingquan (VB34), ils clarifient le foie et dégagent la vésicule biliaire. Ils traitent ainsi la jaunisse, les hypocondres douloureux, et la cholécystite.
Avec Zusanli (E36) et Sanyinjiao (Rt6), ils revigorent la rate, enrichissent le yin, et démultiplient les liquides. Ils traitent ainsi le diabète.
« Dacheng » : Il traite les maux de tête et les convulsions infantiles.
« Jinjian » : Il traite les douleurs des doigts et des poignets.
7/ Jinggu (V64) – L’os proéminent
Applications : Maux de tête, circulation obstruée à la nuque, douleurs du dos et des jambes, épilepsie. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour les convulsions infantiles, les maux de tête neurologiques, etc.
Associations : Avec Fengchi (VB20) et Tianzhu (V10), ils dispersent le vent et désobstruent les tendons, ce qui traitent les maux de tête et les tensions dans la nuque.
Références classiques : « Jiayi jing » : Maladie mentale, arrogance, grelottement due au froid.
« Shenghui fang » : Efficace pour traiter l’effroi, l’absence de désir pour la nourriture, et l’atrophie de la jambe.
« Xun jing » : Humidité froide des mycoses des pieds, la peau des pieds sèche et gercée, ou humide et irritante accompagnée d’ulcérations.
8/ Taixi (Rn3) – Le canyon
Applications : Gorge sèche et douloureuse, douleurs dentaires, surdité, acouphène, vertige, hémoptysie, asthme, diabète, cycle irrégulier, insomnie, spermathorée, impotence, polyurie, lombalgie. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour les trachéites, l’asthme, la néphrite, les cystites, la laryngite chronique, la débilité mentale, l’anémie, la paralysie des membres inférieurs, etc.
Associations : Avec Shaoze (IG1), ils démultiplient le yin des reins et clarifient la chaleur déficiente. Ils traitent les laryngites et les douleurs dentaires.
Associé à Feiyang (V58), ils forment l’association hôte – invité. Ensemble, ils tonifient les reins et enrichissent le yin. Ils traitent les maux de tête et les étourdissements.
Avec Shenshu (V23) et Zhishi (V52), ils tiédissent le yang et revigorent les reins. Ils traitent ainsi la spermathorée, l’impotence, et les maux de dos dus à une déficience des reins.
Références classiques : « Jiayi jing » : Maladies fébriles et vexation, les pieds froids qui pèlent, transpiration importante.
« Dacheng » : Malaria et pharyngite chroniques, cœur douloureux comme poignardé, pouls du cœur profond, froid dans les articulations des jambes et des bras.
« Jinjian » : Diabète, déficience en essence des reins, schistosomiase, distensions dans la poitrine et les hypocondres.
9/ Daling (Pc7) – Le grand monticule
Applications : Douleurs cardiaques, palpitations, maux d’estomac, vomissement, démence, épilepsie, détresse dans la poitrine, douleurs dans les hypocondres, effroi, insomnie, agitation, halitose. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour la tachycardie, gastrite, angine, schizophrénie, les douleurs au poignet, etc.
Associations : Avec Shenmen (Co7) et Lieque (Po7), ils relaxent les canaux tendineux, et promeuvent ainsi la circulation dans les canaux et collatéraux. Ils traitent les liaisons au nerf radial.
Associé à Xinshu (V15) et Geshu (V17), ils font circuler le canal du cœur, et dissipent les stagnation de sang. Ensemble, ils traitent les stagnations sanguines vasculaires et les palpitations.
Avec Fenglong (E40) et Taichong (F3, ils dissipent le foie et régulent le qi, transforment les mucosités et éveillent le cerveau. Ils traitent ainsi les obstructions de qi par les mucosités qui conduisent au dérangement mental.
Références classiques : « Jiayi jing » : Daling (Pc7) traite les deux mains repliées avec impossibilité de les tendre, l’hémiplégie du membre supérieur, et les spasmes des bras.
« Qianjin fang » : Traite les yeux rouge et l’hématurie.
« Tongren » : Soigne les maladies fébrile sans transpiration, les bras enflés, les rires incessants, l’anxiété, passer des rires aux larmes, les crises de panique.
« Dacheng » : Pour le souffle court, Daling (Pc7) et Chize (Po5).
10/ Yangchi (SJ4) – Le bassin du yang
Applications : Douleurs à l’épaule, aux bras, ou au poignet, paludisme, surdité, diabète. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour les inflammations du poignet, le vent humidité chaleur, le diabète, etc.
Associations : Avec Waiguan (SJ5) et Quchi (GI11), ils meuvent le qi et le sang, relâchent les tendons et libèrent les canaux. Ils traitent les spasmes et les engourdissement de l’avant-bras.
Associé à Shaoshang (Po1) et Lianquan (Ren23), ils clarifient la chaleur et libèrent les canaux, et profitent à la déglutition. Ensemble, ils traitent la gorge enflée et douloureuse.
Avec Pishu (V20) et Taixi (Rn3), ils régulent le sanjiao, nourrissent le yin et humidifie la sécheresse. Ils traitent ainsi le diabète.
Références classiques : « Jiayi jing » : Yangchi traite les douleurs à l’épaule avec impossibilité de la lever, la transpiration bloquée, le cou douloureux.
« Waitai » : Il traite les alternances entre fièvre et frisson, l’épaule douloureuse avec impossibilité de la lever, la transpiration bloquée, le cou enflé.
« Tongren » : Soigne les maladies fébriles sans transpiration, les bras enflés, les rires incessants, l’anxiété, les sautes d’humeur lorsqu’on passe des rires aux larmes, les crises de panique.
« Tuyi » : Il traite le diabète avec la bouche sèche, la vexation, les alternances entre fièvre et frisson, les séquelles d’AVC, l’impossibilité de relever la main ou l’épaule.
11/ Qiuxu (VB40) – La friche sous le tertre
Applications : Douleurs au cou, aisselles enflées, poitrine et hypocondres douloureuses, vomit, remontées acides, atrophie et paralysie des membres inférieurs, la cheville externe enflée et douloureuse, malaria. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour la cholécystite, etc.
Associations : Avec Fengchi (VB20) et Taichong (F3), ils clarifient le foie et la vue. Ils traitent les douleurs, rougeurs et gonflements des yeux.
Associé à Kunlun (V60) et Shenmai (V60), ils promeuvent la circulation dans les canaux et collatéraux, relève les gonflements, et stoppent la douleur. Ensemble, ils sont utilisés pour les gonflements et douleurs à la malléole externe.
Avec Yanglingquan (VB34) et Qimen (F14), ils drainent le foie et profitent à la vésicule biliaire. Ils traitent ainsi la cholécystite.
Références classiques : « Jiayi jing » : Qiuxu (VB40) traite la vision trouble, les grelottements dus au froid, la cataracte, l’aveuglement, la taille et les hypocondres douloureux, les crampes aux jambes.
« Qianjin fang » : Il traite les douleurs perforantes aux hypocondres, les pieds enflés et douloureux, l’impossibilité de rester longtemps debout, les crampes dans les orteils.
« Dacheng » : Pour les douleurs aux hypocondres, percez Qiuxu (VB40) et Zhongdu (GB32).
« Tuyi » : Traite les douleurs et distensions dans la poitrine et les hypocondres, l’alternance de froid et chaud, la cataracte, le cou enflé, la malaria chronique avec grelottements froids, évanouissement, le dos et les jambes avec douleurs irradiantes, douleurs aux hanches, les crampes dans les jambes, les hernies inguinales.
12/ Taichong (VB40) – L’impétueux
Applications : Maux de tête, vertige, insomnie, les yeux rouges et gonflés, les stagnations, les convulsions infantiles, déviation de la bouche, douleurs dans les hypocondres, saignements utérins, les hernies, dysurie, épilepsie, la malléole interne douloureuse. Il est aujourd’hui principalement utilisé pour l’hypertension, les infections urinaires, la mastite, la schizophrénie, etc.
Associations : Combiné à Hegu (GI4), cette association porte le nom de Siguan – les quatre barrières. Ils ont une propriété apaisante, équilibrent le foie et calment les spasmes, traitent la démence, les maux de tête, les vertiges et l’hypertension.
Associé à Zusanli (E36) et Zhongfeng (F4), ils ont une propriété antispasmodique, et traitent les difficultés à la marche.
Avec Qihai (Ren6) et Jimai (F12), ils drainent le foie et régulent le qi, et traitent ainsi les hernies.
Références classiques : « Jiayi jing » : Taichong (F3) traite les convulsions.
« Qianjin fang » : Il traite la jaunisse, la chaleur des centres avec désir de boire.
« Tongren » : Il traite les plénitude des hypocondres, les pieds froids, la constipation, l’hématémèse, les saignements ininterrompus chez la femme, les nausées et hernies infantiles.
« Dacheng » : Pour les pertes incessantes chez la femme, utilisez Taichong (F3) et Sanyinjiao (Rt6).
« Jinjian » : Traite les convulsions infantiles chroniques ou aiguës, l’épilepsie, douleurs à la gorge, les distensions et plénitudes à la poitrine et dans les hypocondres, le froid et humidité dans les pieds, les difficultés à la marche, les hernies inguinales, les douleurs testiculaires, la vision troubles, et autres symptômes.
Extrait du « Qiuyi buru qiuyi », 2007,
de Zheng Fengzhong, auteur émérite,
membre de la fédération de médecine traditionnelle chinoise de Pékin.
Traduit et partagé par Raphaël Gallo-Bona,
Votre praticien à l’Institut Feng Zhen.
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